Exclusif ! Brexit : la Reine quitte l’Angleterre pour Mios…
Les révélations (excentriques) d’Oncle François : Brexit : la Reine demande la nationalité française et s’installe en son domaine du Val de l’Eyre
29/09/19
InfoBassin dévoile une révélation d’Oncle François, observateur averti du Bassin et du Val de l’Eyre, et correspondant (très allumé) de La Dépêche du Patelin…
Michel Lenoir, Directeur de Publication
« Ce blondinet mal peigné et vulgaire de Boris Johnson me sort par les yeux ! Mon Philou, on part s’installer à Mios ! » aurait dit la reine Élisabeth II au duc d’Édimbourg, qui aurait répondu en faisant « Argh, argh », ce qui est chez lui synonyme d’acceptation joyeuse.
« Avec ce type d’agissements, je passe vraiment pour une c… » aurait ajouté sa Gracieuse Majesté, faisant allusion aux différentes péripéties de sortie de l’Europe.
« Argh, argh », aurait répondu le prince Philip, ce qui est chez lui synonyme d’acceptation joyeuse.
L’on savait la Reine proche du français, ayant notamment conservé dans notre langue, la devise de l’Ordre de la Jarretière, “Honni soit qui mal y pense”, que certains députés conservateurs anglais voulaient transformer en “Fuck yourself”, ce qui est sa traduction littérale en langue de Shakespeare.
Mais de là à vouloir devenir française, il y avait un pas que Lisbeth a franchi sans hésiter.
Les services de l’émigration saisis du dossier
Les services de l’émigration, interrogés sur le sujet, ont confirmé : « En effet, nous avons reçu un dossier de Buckingham. Son acceptation a été rapide : 2 minutes. Seule formalité rejetée : la Reine voulait continuer à rouler à gauche, ce qui était délicat. »
2 minutes ! Rappelons que pour le moindre sujet iranien homosexuel menacé de mort dans son pays, et demandant une carte de séjour, il faut prévoir 6 ans… Ah ! l’attrait du Français, peuple régicide, pour la royauté !
Rester or not, au United Kingdom
The ex-Queen dit s’être posé la question suivante :
« Rester au Royaume-Uni ? Mais où aller ? Buckingham, c’est trop grand, et puis pardon, avec le nombre de fenêtres, bonjour le nettoyage des vitres ; Windsor ? C’est mal chauffé, sauf quand le château brule ; Balmoral ? Là-bas, : j’ai pas l’moral… il pleut tout le temps. »
« On ne va pas tout de même demander la nationalité allemande, et reprendre ton ancien nom de “Battenberg”, hein, Philou ? »
« Argh, argh », aurait répondu le prince Philip, ce qui est chez lui synonyme d’acceptation joyeuse.
« Alors on va aller se faire voir où ? En Espagne ? En Italie ? Dans ta famille, Philou, chez les Grecs ? Non, on va s’installer au Petit Caudois. »
Un domaine royal à Mios
En effet, la famille royale britannique possède, depuis l’époque où la Gascogne était anglaise, un petit terrain d’une centaine d’hectares avec une maison, dans ce quartier de Mios.
C’est un héritage datant de 1152, résultat du mariage d’Aliénor avec Henri II Plantagenêt : le duché d’Aquitaine et celui de Gascogne furent unis à l’Angleterre.
Un temps, Élisabeth voulait en faire un golf, puis un parc d’attractions à thème sur la fabrication du “fish & ship », puis une station de ski, mais les problèmes techniques étaient trop importants, puis un camping. Mais finalement elle s’est contentée de l’entretenir, avant sa récente décision.
Grand bien lui en a pris, puisque son pied-à-terre girondin est opérationnel.
Zabou avec les Miossais(es)
Là, Zabou, comme elle souhaite que l’appellent les Miossais, et preuve de sa nouvelle vie, a déjà tout prévu : « Au programme, la vie de gentlewoman farmer !
J’irai faire des tours de 4X4 dans les bois, je m’occuperai de mes poules, de mes moutons, de mes chiens et de mes chevaux ! Ici c’est parfait : on à Auchan et Lidl à 5 km, l’hôpital Jean Hameau proche si Philou en a besoin (« Argh, argh, etc… »), l’hippodrome de la Teste pour voir des courses, et Pascal Obispo pas loin pour les soirées “chansons”. »
« Fini le Brexit, les réceptions interminables, les histoires de famille, la gueule de Boris et le serrage de mains dont on ne sait pas si elles sont vraiment propres ! Et si mes gosses veulent passer pour chercher leurs étrennes, ils pourront mettre des tentes dans le jardin ! Vraiment, vive la retraite ! »
« Par contre, j’espère que l’autre taré de Trump ne viendra pas trop souvent, en voisin, pour s’inviter au thé » aurait conclu sa Royale Majesté, faisant allusion au scoop qu’elle avait lu la semaine dernière sur InfoBassin, dont elle est friande, relatant le rachat du Bassin par le luminescent magnat américain (voir notre article du mois dernier, ici) .
Les Balkany au Ferret
Décidément, ce territoire attire les grands de ce monde : il se murmure que Patrick Balkany, le philanthrope des Hauts-de-Seine, voudrait acheter un petit quelque chose sur la presqu’île du cap Ferret. Il a toutefois posé une condition : la commune devra être débaptisée et s’appeler dorénavant “Levallois-Ferret…”
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Oncle François
Illustrations : Copies écran internet.